Avec l’évolution croissante des technologies, on se dit qu’il n’est jamais évident de capter l’attention d’un enfant.
Les plus jeunes aiment toujours participer à une activité manuelle, culturelle ou physique, mais à force de faire rentrer divers appareils technologiques dans notre quotidien, il n’est pas toujours facile de rester concentrer sur toute la durée de l’activité.
A une certaine époque, à l’école pendant les heures de cours, le simple fait de visionner une video sur un écran cathodique pouvait suffire à capter l’attention tout en continuant à enseigner les notions fondamentaux d’un cours.
D’ailleurs certains programmes TV surfait sur cette vague comme l’émission « E=M6 » ou « C’est pas sorcier », s’en est suivi beaucoup du même type d’autres reprenant le même credo, mais ayant chacun sa petite particularité.
Ce qui faisait l’attrait de C’est pas sorcier, c’était principalement toutes ces petites animations, ces effets qui permettait de comprendre visuellement les grand principes sans forcement rentrer dans des théorèmes trop complexe à démontrer sur un tableau ordinaire.
Puis s’en suivit — pour les plus chanceux — au collèges des séances de cours scientifiques grâce à des petits jeux sur ordinateurs.
L’attrait pédagogique était évident , l’apprentissage et surtout pour l’élève la réflexion sur ses capacité et l’apprentissage de ses erreurs sont des atouts tout aussi évident.
Animations, présentations en 3D, changement de couleurs …
Il n’ya pas photo, entre un schéma fixe au tableau noir ou meme au feutre sur tableau blanc, et un model 3D, le choix est fait et même les élèves en redemandent.
Pourtant, les équipement informatiques n’était pas des foudres de guerres, mais il permettait de faire toutes ces choses qui sont impossible sur un support inerte, tout en améliorant la fonction premiere des professeurs : transférer leurs savoir et leurs connaissances.
Une brèche s’est ouverte, et de plus en plus de personnes apprennent et se forment grace aux outils numériques accessible à chacun. d’une séance sur vidéo projecteur, on passe dans des salles de cours où chacun est assis devant un Pc fixes, puis les élèves peuvent aussi utiliser leurs ordinateurs portable, de nos jours on préfère utiliser tablettes et téléphones portables.
Ces derniers éléments étant de plus en plus accessible, et facile d’utilisation que même des applications dédiés sont disponibles uniquement sur ces plateformes.
Ces nouveaux moyens de nouer facilement des liens entre l’éducation, l’apprentissage et les nouvelles technologies à — petit à petit — perdu en efficacité.
Peut-on parler de la fin d’un effet de nouveauté ?
Les plus jeunes sont tellement habitués à voir la technologie autour d’eux, que finalement ils en deviendraient blasés ?
Ou n’avons nous tout simplement pas oublié la place du formateur et du professeur, élément central de l’apprentissage ?
Chez divers acteurs comme par exemple chez OpenClassroom ( anciennement « Le Site du ZERO » ), ont pensé l’apprentissage en ligne sur la base d’un référant, il y a toujours un professeur, et toujours une « classe » avec des camarades de classe plus ou moins virtuels, ces camarades étant réels mais la classe est en ligne sur le site internet.
Chez tbi-direct L’ecran interactif est un dispositif d’affichage dynamique pour attirer l’attention des enfants, mais aussi interactif qui stimule leurs échange et créativité. (aussi les enfants sont déjà familiarisés avec le matériel numérique tactile depuis leur jeune âge comme les tablettes, l’ecran interactif est en principe comme une grande tablette avec l’interactivité comme plus-value pour l’apprentissage)
C’est le même genre d’outils utilisé dans les formations professionnelles et dans les entreprises.
Nous avons déjà parlé de ce type de solution sur cette page : « Les apports professionnels et pédagogiques des solutions interactives » ainsi que sur cet article : « les écrans interactifs, pour des présentations en HD et efficaces ! »
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